lundi 29 avril 2013

Rose Morte (Céline Landressie)


Tome 1 : La Floraison


France, fin du xvie siècle. C'est dans ce pays en proie à de terribles dissensions religieuses que se réfugient les Greer, fuyant l'Angleterre élisabéthaine.
Eileen, seule enfant du comte, est une jeune femme vive et de caractère. Mais son âge avance, et son père la met au pied du mur : elle doit se marier.
Et c'est en faisant tout pour éviter cette terrible obligation à l'aide de sa fidèle amie Charlotte que Rose fera connaissance d'Artus de Janlys.
Le séduisant et mystérieux comte l'entraînera dans un univers dont elle ne soupçonnait pas l'existence, où les crimes terribles qui secouent Paris trouveront une explication apparemment inconcevable, mais bel et bien réelle...


Rose Morte...
Que dire de ce livre? Je l'ai lu rapidement, en y regardant bien, et pourtant j'ai l'impression d'avoir trainé en longueur. Je sais très bien pourquoi, j'ai dû couper ma lecture et la reprendre pour parfois une centaine de pages, mais réellement, j'aurais aimé le lire plus vite.
Parce que ce livre est une pépite, une vraie.

C'est un petit coup de coeur. J'hésitais à le classer dans mes coups de coeur, mais je dois reconnaître beaucoup trop de qualités à ce livre qui m'a emportée pour ne pas le faire.

Rose Morte est un roman historique fantastique avec la plume qui va avec. Diantre, cette plume, mais... Elle est merveilleuse! J'ai eu la nette impression de lire un classique moderne. C'est déroutant et envoûtant, wouahou! La plume de Céline Landressie est en accord total avec l'époque dans laquelle se déroule l'histoire, avec néanmoins une petite touche propre à notre siècle. Quelque chose en somme, que Dumas et ses confrères n'auraient pas eu et qu'ils auraient été bien en peine d'avoir. Il m'a fallu deux trois paragraphes pour m'habituer, et puis ensuite, je me suis laissée emporter sans aucune protestation, découvrant ce monde ancien dont je connaissais deux trois petites choses de part mes lectures précédentes, découvrant parfois grâce au glossaire qui était loin de se présenter de trop des choses que j'ignorais.
Oui, Rose Morte fait partie de ces livres qui vous emportent et vous instruisent en même temps. Mais quelle merveille, non? Faire d'une pierre deux coups. Fabuleux.
Le vocabulaire, la manière de s'exprimer des personnages... Je ne doute pas que l'auteure a dû faire de nombreuses recherches pour donner de la vraisemblance à ses écrits, et je dois admettre que le travail est loin d'être celui d'un amateur. Tout ce que j'ai à dire, c'est bravo!

Quant à l'histoire en elle-même, elle ne manque pas de charme non plus. Je ne vous révèlerai rien de plus ou presque que ce que la quatrième de couverture ne dévoile, j'aurais trop peur de spoiler quoi que ce fût, et ce livre est bien trop sympathique pour que je m'y risque. Imaginez simplement des thèmes actuels avec cependant beaucoup moins de déraison et de... mmmmh... quel mot trouver... disons beaucoup plus de discrétion sur certaines choses. Les choses évoluent lentement, et comme le voulaient les moeurs de l'époque, non, une jeune femme ne se retrouve pas dans le lit de celui dont elle est amoureuse tout de suite. Loin de là! Le jeu était beaucoup plus intriguant à l'époque, et parfois l'on aboutissait à rien. Mais qu'est-ce que j'aime ces jeux où parfois un seul frôlement équivaut à beaucoup plus qu'autre chose!
Tout est développé à la bonne mesure, parfois en créant des tensions, parfois non... On suit le chemin et on s'émerveille. Ca a été mon cas, oh oui!

En plus de cela, Céline Landressie nous dresse des personnages uniques en leur genre. Forts de caractère, mystérieux parfois... Je les ai tous beaucoup appréciés (enfin, quand il le fallait, parce que pour détester les autres, c'est plus compliqué. Disons que l'antipathie a plutôt bien marché...), les trouvant très vrais, réels. Sans fioritures, non plus. Enfin, parlons surtout pour Rose, ou Eileen, qui a quand même un caractère bien trempé, il faut l'admettre. Cependant, Artus, en face, n'est pas non plus une pâte molle, loin de là, et son charme, son mystère, tout en lui, me donnent juste envie de faire "rrrrrrrr". Snif, pauvre fille que je suis. Les personnages secondaires du roman possèdent aussi des personnalités fort intéressantes, telles que celle de Charlotte, d'Adelphe, de lord Edmund, ou même encore de lady Mary. En quelques mots, parfois, Céline Landressie nous présente des personnages plus vrais que nature, et encore une fois, je ne saurai dire combien j'ai apprécié.
Je remarque juste que j'ai tendance à beaucoup parler, et ceci avec des manières qui ne sont guère de notre époque... Arg, cela me fait le même effet qu'après la lecture d'un classique normal! Mais ce n'est pas plus mal, après tout.

L'univers que Céline Landressie a construit, en dehors de l'époque historique que nous connaissons, est très riche et très intriguant. Il a parfois de quoi nous flanquer les jetons, tant il se mêle bien avec la réalité. C'est d'ailleurs pour ceci que le tome 1 de Rose Morte ne figure point dans mes coups de coeur. Parce que certains points m'ont... flanqué des frissons dans le dos. Moi qui vis dans un monde bisounours tout doux, j'ai été déroutée, sautant même quelques lignes pour soustraire mes yeux à des "vérités" (dans le livre, voyons), que je trouvais bien moins attrayantes que l'insouciance dans laquelle je me trouve. Cela n'est néanmoins apparut qu'une seule fois, puisque, comme Rose, j'ai eu soif de comprendre, et dès lors, je n'ai plus dérogé à la règle normale de lire toutes les lignes avec la plus grande attention.
Sauf lorsque l'horreur cédait le pas. Non, vous ne saurez pas ce qui a pu effrayer la pauvre jouvencelle que je suis. Diantre... Ca va de mal en pis. Bientôt, je vais faire des révérences pour saluer les gens. Il suffit, gredin de cerveau!

J'aurais envie de dire moult choses encore, mais de peur de spoiler, je vais poser ma plume ici, en précisant toutefois que j'attends la suite, non sans quelque impatience, puisqu'il me semble que des mystères doivent encore être levés, et que j'ai envie de retrouver Rose et Artus... (Cha, pauvre jouvencelle écervelée que tu es, amourachée d'un personnage fictif!)
Ce sera donc un 19.5/20, bien que j'avoue avoir eu du mal à poser une note sur un livre d'une telle qualité. Et je fais une révérence à Céline Landressie. J'aimerais un jour pouvoir écrire pareillement.


Avis des partenaires:
Lire-une-passion



Tome 2 : Trois Épines



France, fin du XVIIIe siècle.


Alors que la révolte gronde aux quatre coins de la France, Rose est rappelée de la cour de Russie. De retour aux côtés de son mentor, elle découvre que la situation vacille également dans l’univers occulte d’Artus.

Les Arimath doivent faire face à de sauvages attaques sur leurs terres, tandis que la grogne contre la noblesse croît d’instant en instant parmi le peuple. Entre la révolution naissante et les prémices d’une guerre au sein du monde obscur, les bouleversements dans l’existence de Rose s’annoncent cataclysmiques. Leurs conséquences risquent fort de faire sombrer en un même chaos les existences des humains aussi bien que des immortels...

Rose Morte 2 est un roman que j’ai reçu pendant le SWAP « La Magie en littérature », et ohlala, quel cadeau, je vous le dis ! Pourquoi ne me le suis-je pas procuré plus tôt, moi, hein ?

Ce deuxième tome nous permet de retrouver Rose quelques menues années après le premier tome (en vérité, bien plus, mais chut ! ;) ). Cette fois-ci, les évènements se produisent en 1789. 1789… qu’est-ce donc, déjà ? Le premier qui me dit « je ne sais pas », grrr, hihi ! Bref, les chambardements ne se font pas qu’à Paris, et il semblerait qu’il y ait de l’activité, du danger, même, au sein du monde auquel elle appartient désormais. Elle doit faire face aux côtés de son mentor, assez difficilement et pour plusieurs raisons, à tous ces soulèvements qui sont bien plus graves qu’on ne pourrait le croire de prime abord…

Niuk. Comment voulez-vous faire un bon résumé avec tout ce condensé d’intrigues, de retournements, d’éléments importants, de… hein ? Le résumé officiel est brillant, concis et il ne dit juste pas ce qu’il faut en dévoilant les éléments pour vous donner envie de plonger dedans.

Comment a été ma lecture ? Très simple. Délicieuse. J’ai été embarquée du début à la fin, je l’ai lu – dévoré selon certains – avec un plaisir non feint, plongeant dans cet univers inconnu et tellement charmeur dont Céline Landressie nous a ouvert les portes. Des livres comme ça ? C’est l’extase, pour des lecteurs qui savent apprécier ce qu’ils ont entre leurs mains ! La saga Rose Morte est un pur bijou. Le tome 2, surtout, puisque j’ai déjà chroniqué le 1. Pourquoi donc ce tome 2 est merveilleux ?

Tout d’abord, les premiers mots ne peuvent que vous plonger dans une envie continuelle d’aller plus loin. Je l’avoue, j’ai tenu deux heures avant de craquer et de rouvrir le livre pour déchiffrer ces mots venus d’une autre époque. Oui ! Céline Landressie a gardé cette merveilleuse plume un peu ancienne, qui vous transporte aux côtés de Rose et d’Artus et… aaaaah, c’est tellement beau, je suis en admiration devant. C’est une des premières choses que j’ai notées, et que j’ai réellement appréciées.

Ensuite ? Les caractères des personnages. Parfaitement entiers. Rose est un personnage que j’aime énormément, parfaitement butée et pourtant humble, toujours à se remettre en cause, fière et déterminée pourtant ! Sa personnalité est géniale. Pas facile à vivre, mais géniale. Ensuite, les deux frères, Artus et Adelphe. Eux aussi, je les aime ! Butés, mystérieux… je suis sous le charme, je vous l’avoue clairement ! Ils dégagent une aura particulière qui nous envoûte littéralement ! Ensuite, il y a Vassili, je ne vous dirai pas de qui il s’agit, mais j’ai aussi énormément d’affection pour lui. Céline, tu as réussi un prodige, je me demandais comment l’appréhender à la base, mais après, au fur et à mesure, je l’ai vraiment trouvé touchant. Il a tellement sa place, ici !
Concernant les personnages secondaires, qu’on rencontre plus ou moins régulièrement, je les croyais presque de chair et d’os, à force !

Oui, parce que voyez-vous, cette œuvre a beau être une œuvre de fiction et même de nous faire part de surnaturel, hein, le réalisme de tout ceci me laisse toujours sur les fesses. Les détails, les précisions, le contexte… tout contribue à vous faire voyager dans le temps avec bonheur ! Rien n’est laissé au hasard et mon admiration pour l’auteure n’en allait que crescendo plus je lisais !

Autre chose aussi a suscité mon admiration totale, complète, irrémédiable… les complots et les soulèvements dont il est question ! Huh ! Il y a des moments, j’avais l’impression de perdre pieds, sans le faire complètement, suivant les raisonnements, les découvertes, les… tout ! J’appelle ça, personnellement, un travail de malade. Génial. C’est pas de la poudre devant vos yeux, c’est vraiment quelque chose qui vous laisse à la fin du livre « woah. ». Quand même, n’est-il pas ?

Le seul point, peut-être, qui me fait passer en dessous du coup de cœur (mais il a une place de choix dans mon cœur et dans ma biblio, obligé), c’est le réalisme de certaines scènes. Les combats, les… mises à mort, si on veut, sont un peu trop représentatives, même si ce n’est nullement un défaut, au contraire. Ce sont juste, une fois de plus, mes goûts personnels qui parlent. C’était quand même rassurant de percevoir la réaction de Rose après ce genre de scènes, et de se rendre compte que j’avais la même, en fait ! Hihi !

Céline Landressie réussit à ménager tout au long de son deuxième tome une tension horrible et parfaite. Dans plusieurs domaines, d’ailleurs, il me faut le préciser. Entre Artus, Vassili, Adelphe, Rose… vache, il y a des moments, on est pendu au livre pour plusieurs scènes, et le premier qui vient vous déranger pendant ces situations c’est « grrr, je mords ! ». Impressionnant ! Et puis, justement, ce soulèvement qui a lieu dans le monde obscur installe une ambiance particulière, vous aussi, vous êtes presque régulièrement aux aguets, sans compter que le soulèvement français installe lui aussi la même ambiance… bref, tout s’entrecroise parfaitement bien sans que cela soit too much.

Je crois qu’il va falloir que je m’arrête, je pérore, pérore et pérore… mais quand vous vous retrouvez avec un livre pareil entre les mains, vous ne pouvez qu’en parler pendant des heures.
Vous n’avez pas encore lu Rose Morte 2 ? Fichtre, vous passez clairement à côté de quelque chose de merveilleux, faites-moi confiance ! Une plume extraordinaire ; des personnages géniaux aux caractères entiers qui sauront vous charmer ; un sens du détail, du contexte qui vous emportera réellement à l’époque où la fiction se situe, vous faisant presque oublier qu’il s’agit d’une fiction, d’ailleurs ; une tension parfaite et… et encore tellement de choses. Rose Morte 2 ? Génial. Et bien plus encore !
Ce sera un 19.5/20 pour moi !



Tome 3 : Flétrissures



France, milieu de XXe siècle. Le monde mortel se délite en livrant bataille au IIIe Reich, dont la violence et la cruauté sont sans équivalent. Malmenée par ces horrifiantes évolutions, la société obscure se débat simultanément dans ses propres dissensions. Loin de s’apaiser, les conflits qui la secouent ont gagné en ampleur, amenant un improbable triumvirat composé d’Artus, Olaf et Raugmundr, a des décisions drastiques. Mais les choses prennent une fâcheuse tournure. En dépit des injonctions de son mentor, Rose n’a alors d’autre alternative que se jeter dans une course contre la fatalité...

Alors, alors…
Comme vous le savez peut-être, je suis assez fana du style et de l’histoire de Céline Landressie. J’ai très vite adhéré et je voulais genre absolument ce troisième tome, qui a évidemment pris tout son temps pour arriver chez moi !
(et que j’ai à peine fait traîner dans ma PAL)

Dans ce troisième opus, nos héros se voient confrontés eux aussi à la Deuxième Guerre Mondiale, bien que d’une façon un tant soit peu protégée. Ils ne prennent pas directement part aux conflits, du moins… jusqu’à ce qu’un évènement change toute la donne. Allant totalement à l’encontre des ordres d’Artus, Rose va se retrouver contrainte de filer contre le temps lui-même afin d’éviter le pire. Ce qu’elle trouvera dans cette course dépasse son entendement, qu’il s’agisse d’elle-même, de ses amis ou encore des secrets de cette guerre effroyable.

J’aime bien mon résumé. Restons dans la ligne « j’en dis un peu mais alors vraiment très peu », hein ! Parce qu’en fait, là… on ne vous dit rien. Mais alors, rien. Le truc qui survient au début du bouquin ? C’est un peu un coupe-souffle. Le lecteur est tout de suite en mode « nooo, no way, c’est pas possible que ça, ça arrive ! » et pourtant si. C’est à partir de cet instant que le livre prend des allures de course contre la montre au milieu de l’enfer.

Et encore… l’enfer, on y parvient sur les dernières pages. Brrrr.
Ce troisième tome est juste… incroyable. Incroyable parce qu’on plonge dans un passé que pour la plupart nous connaissons pour l’avoir appréhendé en cours ou de bien des façons. Mais là ? On en apprend encore des tonnes ! Et pas des éléments reluisants… ça craint tellement du boudin, vous n’imaginez même pas.

En plus de ça, nos personnages se retrouvent dans l’ignorance, dans une situation inextricable et ainsi que c’est écrit dans la 4ème de couverture… à lutter contre la fatalité. Et nous faisons pareil. On ne peut que suivre Rose à travers ce périple en gardant la même foi qu’elle. Même si ce voyage lui coûtera énormément.

Quelque part, c’est une descente aux enfers, oui. Parce qu’on voit l’envers de la guerre, on la découvre encore avec un autre regard, et on se révolte. Encore, toujours. Et on découvre auprès de Rose des aspects de son être qui flanquent un peu les jetons. C’est sombre. C’est même très sombre. Parfois, je trouvais ça presque un peu trop, et en même temps, c’est aussi ce qui est appréciable chez Céline Landressie : on n’est pas dans un conte de fées. Cette histoire de vampires, c’est une vraie histoire de vampires, bien adulte et poussée.

Oui, parce que vous n’imaginez pas la construction du roman et de la saga, en fait. Il y a tellement d’éléments que vous pourriez relire les trois premiers tomes, là, et découvrir encore des trucs que vous n’aviez pas aperçus. Entre la construction incroyable de l’intrigue, qui s’étend sur plusieurs siècles (oui, carrément !), de l’univers qui n’a rien de simple (les clans, l’histoire propre à cette race…), des personnages qui sont tous sauf aisés à comprendre alors qu’en fait, on s’en sent très proches par moment, pour finir par le contexte historique qui va jusque dans des détails insoupçonnés… mais vous imaginez ? C’est un travail de fou ! Tout au long de ma lecture, je me suis demandé comment notre auteure avait fait. Déjà pour réussir à écrire et construire tout ceci, mais aussi pour avoir les nerfs de se référer autant à cette époque. De parler à ce point de la cruauté de cette guerre. C’était important, mais qu’est-ce que ça dû être difficile à écrire !

À côté de ça, il faut bien dire ce qui est : la plume de notre auteure est toujours aussi poussée, précise et maîtrisée. Il y avait plein de mots que je ne connaissais pas, c’était trop bien ! (je vous assure encore une fois que je n’ai rien avalé de bizarre) Le seul reproche que j’aurais à faire ? Les remarques en langue étrangère (genre allemand, polonais) qui n’étaient pas traduites. Cela ne changeait rien, on comprenait quand même, m’enfin j’ai trouvé ça un peu dommage. On trouve beaucoup de sensibilité et de justesse dans les propos du livre, des moments très noirs, aussi, un peu flippants… mais toujours en accord avec ce que la saga est.

Que dire de plus ? Ah. La fin. Je te déteste, Céline. C’est une torture ! Ces mots ! Mais ces mots ! Arg ! Pourquoi ? C’est à n’y rien comprendre ! Le maelström d’émotions que cela a engendré, j’étais déçue et pourtant, non, j’veux pas y croire ! Quant à la toute dernière phrase… sérieusement, elle annonce beaucoup pour la suite. Ça va envoyer du pâté, j’vous l’dis.

En conclusion, le troisième tome de Rose Morte est bien plus noir que les deux premiers, à mes yeux, et l’action y a une place très très importante. On y affronte les affres de notre Histoire, mais aussi les affres de la leur, de nos personnages qui vont juste vivre un enfer. La plume est toujours aussi époustouflante, et même si j’avoue avoir moins apprécié, avec le recul, que les deux autres, ça n’enlève rien au fait que cette saga est incroyable et que j’en lirai la suite. Il y avait juste pour moi un peu trop de noirceur, je crois. Je me pose toujours plus de questions quant à l’intrigue, j’ai hâte de tous les retrouver et… ce sera un 18/20 pour moi !

2 commentaires:

  1. En fait, on a pas mal de lectures en commun ><

    http://lireunepassion.blogspot.fr/2013/02/rose-morte-tome-1-la-floraison.html

    RépondreSupprimer
  2. Cette lecture m'attire de plus en plus. Je l'ai acheté il y a peu et c'est le prochain sur la liste. Ton avis me donne encore plus envie de me plonger dedans :)

    RépondreSupprimer