Voilà, c'est la première fois que je fais ça, mais pour le résumé, si vous le voulez, je vous conseille de cliquer sur ce lien: Les enfants de la liberté, Marc Levy
C'est superbement bien fait, la petite musique avec est pas mal, je trouve!
Bon, maintenant, passons aux choses sérieuses.
J'ai fait une relecture de ce livre, je l'avais beaucoup aimé, en l'ayant découvert au lycée.
J'aime de toute façon tout ce qui touche à la 2GM.
Ici, on suit Jeannot et Claude, deux frères juifs qui ont moins de 20 ans, et qui entrent dans la Résistance. J'ai admiré leur courage, leur innocence, leur maturité, tous ces éclats de personnalité qui transparaissaient chez eux. Ils n'étaient pas parfaits, mais ils étaient enfants de la liberté. Ils se battaient par rêve, par excédent d'espoir, pour tous ceux qui n'en avaient plus, en se fichant bien de leur vie.
Le plus important, c'était de ne pas se laisser abattre par l'ennemi, par celui qui nous privait de tout, même de l'ennui.
Je me suis demandée, au fond, si j'aurais eu autant de force et d'audace qu'eux, et je me dis que peut-être. On ne le saura jamais, et ce n'est pas plus mal, loin de là.
Marc Levy raconte l'histoire de son père, à ce que j'ai cru comprendre. (peut-être est-ce que je raconte n'importe quoi).
Mais même si je n'avais pas su que cette histoire était vraie, qu'elle représentait une fiction, je m'en serais contre-tamponnée, parce que tout ce qui se déroule dans ce livre aurait pu tout de même se passer.
Certes, les évènements sont racontés avec une certaine pudeur, mais rien n'est omis, caché, tout est montré à l'oeil du lecteur, non pas pour qu'il juge, mais pour qu'il prenne conscience que si aujourd'hui nous jouissons de la liberté, c'est parce que des mômes de parfois 14 ans se sont battus pour nous, qu'ils ont osé dire non à l'oppression.
Ce livre... c'est un livre qui vous prend par moments parce qu'il est vrai. Humain.
J'ai ri, parfois, j'ai la gorge qui s'est serrée... J'ai ressenti la rage au fond de moi.
Enfin bref, Les Enfants de la Liberté est un des meilleurs bouquins de Marc Levy à mon sens, même si je n'ai pas ressenti de papillons.
Ce livre est encore une histoire d'amour, une des plus belles qui soit: celle de l'humanité avec la liberté.
Vous savez que je pourrais écrire encore des trillions de trucs sur ce bouquin, comme d'habitude. Je me contenterai juste de mettre deux extraits qui m'ont beaucoup plu!
"Antoine se penche sur la pièce et lit les premières lettres.
- Qu'est-ce que ça dit, ta phrase ?
- C'est pas encore fini, mais ça dira : "Il reste des bastilles à prendre."
- Tu vois, Enzo, je sais pas si ton truc c'est beau, ou si c'est très con." (p.262 Ed. Pocket)
"Alors qu'on nous pousse, Claude se penche à mon oreille.
- Cette fois, c'est le dernier voyage.
- Tais-toi !
- Combien de temps crois-tu que nous tiendrons là-dedans ?
- Le temps qu'il faudra. Je te défends de mourir !" (p.280 Ed. Pocket)
Je lui attribue un 19/20, c'est un petit coup de coeur.
C'est superbement bien fait, la petite musique avec est pas mal, je trouve!
Bon, maintenant, passons aux choses sérieuses.
J'ai fait une relecture de ce livre, je l'avais beaucoup aimé, en l'ayant découvert au lycée.
J'aime de toute façon tout ce qui touche à la 2GM.
Ici, on suit Jeannot et Claude, deux frères juifs qui ont moins de 20 ans, et qui entrent dans la Résistance. J'ai admiré leur courage, leur innocence, leur maturité, tous ces éclats de personnalité qui transparaissaient chez eux. Ils n'étaient pas parfaits, mais ils étaient enfants de la liberté. Ils se battaient par rêve, par excédent d'espoir, pour tous ceux qui n'en avaient plus, en se fichant bien de leur vie.
Le plus important, c'était de ne pas se laisser abattre par l'ennemi, par celui qui nous privait de tout, même de l'ennui.
Je me suis demandée, au fond, si j'aurais eu autant de force et d'audace qu'eux, et je me dis que peut-être. On ne le saura jamais, et ce n'est pas plus mal, loin de là.
Marc Levy raconte l'histoire de son père, à ce que j'ai cru comprendre. (peut-être est-ce que je raconte n'importe quoi).
Mais même si je n'avais pas su que cette histoire était vraie, qu'elle représentait une fiction, je m'en serais contre-tamponnée, parce que tout ce qui se déroule dans ce livre aurait pu tout de même se passer.
Certes, les évènements sont racontés avec une certaine pudeur, mais rien n'est omis, caché, tout est montré à l'oeil du lecteur, non pas pour qu'il juge, mais pour qu'il prenne conscience que si aujourd'hui nous jouissons de la liberté, c'est parce que des mômes de parfois 14 ans se sont battus pour nous, qu'ils ont osé dire non à l'oppression.
Ce livre... c'est un livre qui vous prend par moments parce qu'il est vrai. Humain.
J'ai ri, parfois, j'ai la gorge qui s'est serrée... J'ai ressenti la rage au fond de moi.
Enfin bref, Les Enfants de la Liberté est un des meilleurs bouquins de Marc Levy à mon sens, même si je n'ai pas ressenti de papillons.
Ce livre est encore une histoire d'amour, une des plus belles qui soit: celle de l'humanité avec la liberté.
Vous savez que je pourrais écrire encore des trillions de trucs sur ce bouquin, comme d'habitude. Je me contenterai juste de mettre deux extraits qui m'ont beaucoup plu!
"Antoine se penche sur la pièce et lit les premières lettres.
- Qu'est-ce que ça dit, ta phrase ?
- C'est pas encore fini, mais ça dira : "Il reste des bastilles à prendre."
- Tu vois, Enzo, je sais pas si ton truc c'est beau, ou si c'est très con." (p.262 Ed. Pocket)
"Alors qu'on nous pousse, Claude se penche à mon oreille.
- Cette fois, c'est le dernier voyage.
- Tais-toi !
- Combien de temps crois-tu que nous tiendrons là-dedans ?
- Le temps qu'il faudra. Je te défends de mourir !" (p.280 Ed. Pocket)
Je lui attribue un 19/20, c'est un petit coup de coeur.
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