jeudi 26 décembre 2013

Rome (Kate Quinn)

Préquelle : Les Héritières de Rome



Elégante et ambitieuse, Cornelia, l'aînée de la famille, incarne la parfaite épouse romaine. Lorsque l'empereur Galba choisit son mari pour héritier, elle se voit déjà impératrice. Sa sœur, Marcella, se passionne pour l'histoire et consacre ses journées à l'écriture. Lollia, leur cousine, se marie et se remarie au gré des valses du pouvoir, garantissant ainsi la sécurité des siens et s'assurant les faveurs des puissants. Sa petite sœur, Diana, n'a quant à elle d'yeux que pour les chevaux et les courses de chars. Mais un coup d'Etat meurtrier bouleverse leurs vies : Cornelia voit ses rêves brisés, tandis que Lollia devient la première dame de l'Empire ; Diana se renferme encore plus, au contraire de Marcella, qui se découvre un goût pour l'intrigue. Dorénavant, il n'est plus question pour elle d'observer l'histoire en marche, mais d'y participer, pour le meilleur et pour le pire. Mais, à la fin, il ne peut y avoir qu'un empereur... et une seule impératrice. Les quatre cousines l'apprendront à leurs dépens.

Fichtre, j’avais oublié à quel point lire les romans de Kate Quinn pouvait être addictif !

Ce roman se situe avant La Maîtresse de Rome, durant l’année qui verra 4 empereurs se succéder. Fini le faste et la grandeur d’antan, Rome plonge dans la décadence… et au milieu de cette chute inexorable, quatre cousines issues des Cornelii vont jouer chacune un rôle important dans la suite des évènements. Cornelia, l’aînée, est en passe de devenir impératrice. Sa sœur, Marcella, se passionne pour l’histoire… et pourrait bien essayer de l’écrire au lieu de l’observer. Lollia, quant à elle, file de mariages en divorces, ce qui ne changera pas au gré des empereurs changeants. Quant à Diana, seules les courses équestres l’intéressent. Aucune des 4 ne sera cependant épargnée par cette funeste et incroyable année.

Les Héritières de Rome est le troisième roman que je lis de la plume de Kate Quinn. Encore une fois, j’ai très vite retrouvé cette fluidité qui lui est coutumière, ce décor qui lui est propre et dans lequel elle parvient si bien à plonger des intrigues. Quand on sait qu’elle se base sur des faits historiques et qu’elle établit son roman dedans… je ne peux qu’être subjuguée, personnellement.

Cette fois-ci, pourtant, le ton est donné : on suivra 4 cousines au lieu d’avoir un personnage principal et des protagonistes secondaires comme dans les deux autres tomes. Et j’ai réellement accroché à ces femmes toutes différentes attachées pourtant par des liens du sang et une affection sincère ! Sauf… sauf pour Marcella. Sincèrement, celle-là a fini par me gaver mais à un point !

Cornelia est une femme amoureuse de son mari qui va se retrouver veuve et qui ne croit plus en l’amour. Pourtant… c’est en elle que nous allons comprendre à quel point l’amour peut nous pousser loin. Lollia est la frivole des 4 : elle vogue de mariages en mariages, mais sous son voile de superficialité se cache une femme profonde qui va être sérieusement éprouvée par tous ces changements. Diana, elle, se montre toujours fidèle à ses convictions et ses passions. Elle représente parfaitement Diane, la déesse, et j’ai beaucoup aimé son caractère libre et indépendant. Sans compter qu’elle a une repartie incroyable ! Si on finit avec Marcella, on voit l’érudite, passionnée d’Histoire, qui se complaît à prendre des notes sur tout ce qui se passe. Les changements au pouvoir représentent une mine d’or à ses yeux… jusqu’à ce qu’elle réalise l’influence qu’elle peut avoir sur l’Histoire elle-même.

À ces héroïnes s’ajoutent de nombreux personnages auxquels j’ai pu m’attacher : Thrax, Drensus… ou d’autres que j’ai eu vraiment du mal à supporter, comme Tullia et Gaius. L’auteure nous offre vraiment une mosaïque de caractères qui donne une profondeur à son roman et je peux vous dire que ça se ressent !

Au milieu de tout ça, il y a une intrigue qui se lie et se délie : comment vont survivre les 4 héritières des Cornelii désormais que les empereurs changent au rythme des saisons ? Resteront-elles les mêmes ? Certainement pas. C’est une valse du pouvoir et d’intégrité, quelque part, qu’on observe, avec, évidemment, des intrigues amoureuses tout bonnement addictives. Ouiii, nous avons droit à de belles histoires d’amour dont je suis toujours aussi friande ! Il n’y a pas beaucoup de détails, ce qui me convient bien, et même si parfois, vous le voyez venir à des kilomètres, ça vous fait un bien fou d’en lire la concrétisation.

En résumé, c’est un nouveau roman addictif, légèrement sensuel, qui met en avant des valeurs que j’apprécie énormément comme la loyauté, l’intégrité, l’amour… tout en accentuant le fait que ceux qui cherchent le pouvoir peuvent toujours s’y brûler les doigts. Ou y accéder… et perdre tant avec.

Avec une plume toujours aussi percutante, maîtrisée et parfaitement adaptée, la lecture devient fluide et les scènes sont facilement imaginables. Une nouvelle fois, je m’y suis crue et je n’avais pas envie de sortir de tout ceci, même si parfois, nous avons droit à des scènes difficiles (les temps de guerre ne sont de toute façon pas agréables). Si en plus les héroïnes sont fortes, même si elles penchent du mauvais côté, ça donne un roman épique dont on ne veut plus se séparer !

En conclusion, Les Héritières de Rome est un nouveau succès pour moi. J’ai pris énormément de plaisir durant ma lecture, retrouvant un rythme habituel, évoluant au milieu d’héroïnes fortes et plus ou moins sympathiques à mes yeux. Lollia, Cornelia et Diana resteront des personnages qui m’auront marquée et touchée, même si l’évolution de Marcella est bluffante. La fin est superbe, nous guidant sur les romans que j’ai déjà lus. L’intrigue se déploie sans que l’on veuille lâcher le bouquin, les pages défilent et l’épilogue arrive presque trop vite sous nos yeux.
C’est un nouveau succès pour moi, et ce sera un 19/20 pour moi ! J’en veux encore !





Tome 1 : La Maîtresse de Rome

Jeux du cirque, complots, banquets, orgies... Dans cette formidable saga antique, Kate Quinn fait revivre avec panache l'univers dépravé et sanglant de la Rome du Ier siècle.

Jeune esclave juive soumise aux caprices de l'arrogante Lepida Pollia, sa maîtresse, Thea connaît pour la première fois le bonheur dans les bras du gladiateur Arius le Barbare, la nouvelle coqueluche de Rome. Mais leur idylle attise la jalousie de Lepida, qui s'emploie de son mieux à les séparer.
Cette dernière n'est pas le seul obstacle à se présenter sur la route des deux amants. Grâce à ses talents de musicienne, la belle Thea ne tarde pas àêtre remarquée de l'aristocratie romaine... et d'un dangereux admirateur : l'empereur Domitien, un homme brillant mais cruel qui en fait sa favorite. Devenue la femme la plus influente de Rome, Thea doit plus que jamais garder son amour pour Arius secret.


Ca fait vraiment trop longtemps que je traîne cette chronique. Pourtant, ce n'est pas faute d'avoir apprécié le livre, bien au contraire! Bon, plus qu'à me lancer, banzaï, bonsaï et... hyundaï? xD

Ce livre est un roman sur la Rome antique (oui, oui, aussi un peu romantique AHA!) (bon, ok, je sors niark), et met en scène plusieurs personnages qui sont tous intrinsèquement liés par des complots, des histoires... un peu comme une grande toile d'araignée dont on ne voit les fils que plusieurs années plus tard. 
Pas facile de faire un résumé, donc, mais je veux bien relever le défi. 
Théa est l'esclave de Lepida Pollia. Elles ont toutes les deux 15 ans, sauf que l'un des deux est une mégère, l'autre une femme (à peine) qui se débrouille avec ce qu'elle a et qui... mine de rien, est beaucoup plus intéressante et attachante que sa maîtresse. (oups! Mais non, c'est pas un spoil, dès les trois premières pages vous savez que LE personnage qui aurait mérité un régiment d'agnaffes - ou de baffes, comme vous préférez - est Lepida Pollia!) Sauf que Lepida va s'enticher du dernier gladiateur en vogue à Rome: Arius le Barbare, et qu'elle fera tout pour le séduire, y compris faire passer des petits mots par Théa... et c'est entre cette dernière et Arius que l'amour va naître. Sauf que Lepida finit par l'apprendre, et qu'elle se débrouillera pour séparer les deux amants, croyant triompher. Ce n'est que quelques années plus tard, lorsque Théa sera devenue la maîtresse de Domitien, empereur de Rome, qu'elle comprendra son énorme erreur. Mais cela ne l'empêchera pas de mettre encore des bâtons dans les roues aux deux amants qui ne se sont pas vus depuis des années, sans cesser de s'aimer. 
Une histoire pleine d'intrigues, de sournoiserie, où l'espoir fait son nid quand même, et où on ne lâche plus le livre jusqu'à la dernière page. 

Ouaip. J'ai dix un vingtième de l'histoire même pas, et j'en suis fière, j'espère que ça vous donnera envie! Il y a tellement de revirements dans tout ce roman, vous tournez les pages tellement vite qu'à la fin, au bout de presque 700 pages, vous dites "déjà? mais j'ai rien vu!"

J'ai très, très vite plongé dans l'histoire, et j'avais toujours beaucoup de mal à m'en sortir, surtout quand Arius et Théa se trouvaient ensemble. Ils ne sont pas parfaits, loin de là, tous les deux blessés, écorchés de diverses manières par l'empire romain, ou par diverses personnes, mais ensemble, ils sont parfaits, voilà tout. J'ai admiré ces deux personnages pour leur détermination et leur droiture, malgré leurs actes. En ceci, il faut reconnaître que Kate Quinn a superbement bien mené son intrigue, c'est que même si ses personnages commettent des actes... peu glorieux, la manière d'expliquer leur état d'esprit, leur motivation, permet de s'attacher à eux. Bon, sauf Lepida Pollia, évidemment, encore une fois. 
Nombre personnages ont de multiples facettes, et c'est presque passionnant de toutes les découvrir! 

J'ai apprécié le fait que l'histoire ne soit pas centrée que sur Arius et Théa, même si j'aurais voulu les voir à chaque page. Voyager au coeur de cette Rome assez bien décrite (j'ai quelques doutes sur certains trucs, mais au final, cela importe peu au vu du reste), en découvrant la vie de celui-ci, ou de celle-ci, sans s'expliquer pourquoi on parle d'eux, et finalement, comprendre bien plus tard que nous avons découvert les dessous de l'histoire et que tout se rejoint... ouais, j'aime bien les trucs comme ça. Pas moyen de s'ennuyer! 

Pas moyen, non, mais impossible de rester stoïque face à ce livre. La romance entre Arius et Théa attendrit, nous rend tout chnouchnou (vous ne connaissez pas? ehe), Lepida Pollia vous donne des envies de... respirer plus calmement pour ne pas vous énerver, certains incitent à la pitié, d'autre à un sourire... d'autres encore au dégoût ou à l'incompréhension. Il y a de tout, et c'est un grand plus! 

La plume de Kate Quinn aussi est agréable, très agréable, et c'est un plaisir de la lire. 
Enfin bref, une histoire qui passionne, qui vous embarque même si à quelques endroits vous pouvez vous ennuyer. Il ne faut pas lâcher, parce que ces moments moins intrigants nous permettent de comprendre d'autres cruciaux! Les personnages éveillent une palette de sentiments en nous, les revirements vous forcent à oublier qu'en dehors du livre, la vie est aussi intéressante (siiiiii, si, si, si! Même les cours d'Université!), et même si certains points d'Histoire sont... mouais, c'est à se demander si c'était vraiment comme ça avant, la Maîtresse de Rome est vraiment un roman qui vaut son pesant d'or et que j'ai apprécié. 
Je vous le conseille donc et je lui attribue un 18/20!



Tome 2 : L'Impératrice des Sept Collines



Empire romain, Ier siècle de notre ère, sous le règne de Trajan. Fougueux et obstiné, le jeune Vix, ancien gladiateur, revient à Rome en quête de gloire. Fille d'un sénateur, l'insaisissable Sabine a soif d'aventure. Tous deux se connaissent depuis l'adolescence, et nourrissent une passion réciproque. Mais si elle aime s'amuser avec le beau Vix, Sabine rêve d'un grand destin – ce que le garçon ne pourra jamais lui offrir, contrairement à Hadrien, le futur empereur, auquel elle est promise.
Alors que Rome se prépare à de grands changements, les deux amants, happés chacun de leur côté par le tourbillon de l'histoire, sauront-ils se retrouver ?

Vu comme j’avais apprécié le tome 1 et vu les échos que j’avais reçus concernant ce tome 2, il fallait que je me plonge dans L’Impératrice des Sept Collines !

Ici, c’est la génération suivante que nous rencontrons : Vercingétorix dit Vix, ainsi que Sabine. L’une est patricienne, l’autre plébéien. Pourtant, le destin va les réunir plus d’une fois alors qu’ils s’aiment… mais ne sont pas promis à un avenir ensemble. Sabine suivra son chemin aux côtés d’Hadrien, le futur empereur, alors qu’elle est en faveur auprès de Trajan, un parent à elle. Vix, quant à lui, s’engagera dans les légions dans l’espoir d’une grande carrière et vivra de grandes aventures.

Autant vous dire tout de suite que ce deuxième tome est aussi pour moi un succès. C’est différent du premier, néanmoins, ce n’est pas plus mal. Kate Quinn a voulu jouer sur différents registres : en faisant sortir ses personnages de Rome, en jouant sur la relation des personnages qui est, ma foi, totalement différente de la précédente, même si tout aussi addictive !

Par quoi continuer ? Parlons peut-être des personnages. Je ne dirai pas qu’ils sont légion ici – ce serait un mauvais jeu de mots dont je serais pourtant très fière – mais c’est quand même un peu le cas. Nous ne suivons que certains d’entre eux, mais plusieurs nous restent en tête même s’ils ne sont que personnages secondaires par rapport à Vix et Sabine. Certains sont propres à vous énerver, comme Plotine qui va jusqu’à se prendre pour une déesse et qui a un caractère juste détestable ou Hadrien qui n’est qu’un froid calculateur ici, cependant d’autres sont réellement attachants.
Là, par contre, je pourrais en nommer certains, et en dehors de Vix et Sabine, il s’agirait en premier de Titus. Qu’est-ce que je l’aime, lui ! Il ne cherche aucunement la gloire, juste la droiture et la justice, et malgré ce qu’il prétend, il est vraiment intéressant et son destin est bien plus grand que ce qu’il imagine et espère. Ses citations étaient un vrai régal et son caractère au complet m’a vraiment plu. Mirah aussi, qu’on rencontre bien plus tard, a été un personnage que j’ai beaucoup aimé malgré sa position. C’était pas gagné, mais je l’ai trouvée touchante. Trajan aussi a été un personnage presque fascinant ! Oh, et il y avait aussi la sœur de Sabine dont j’ai momentanément oublié le nom… avec un caractère franc et amusant !
Bref, je pourrais m’étendre longtemps…

Revenons sur Vix et Sabine.
Leur couple m’a tout de suite plu, et je les ai trouvés vraiment mignons, même s’ils n’avaient rien du couple « tout va bien, la vie en rose » etc. On m’avait prévenue et j’avoue que même si je suis un peu déçue par la fin (je voulais une fin comme pour le premier hihi), cette histoire reste quand même superbe.
Sabine a soif d’aventure, de voir le monde, et pourtant aime Vix, qui n’est au départ qu’un garde chez son père, le sénateur Norbanus. Puis elle va se marier, le quitter et lui va s’engager dans la légion romaine pour 25 ans. Vix ne rêve que de gloire, et même s’il aime Sabine, tient à suivre sa bonne étoile. C’est ce qui va les séparer et les réunir souvent. Parce que les chemins qu’ils ont décidé de tracer vont se croiser… pour le meilleur ou le pire.
Ils sont tous les deux déterminés, parfois têtus, impulsif pour Vix, originale pour Sabine et je les trouve géniaux tous les deux, même si Vix est parfois un vrai barbare, c’est vrai. Il a quand même un sens des valeurs profond.

Le contexte de la conquête des territoires par les Romains a été quelque chose de nouveau pour moi et je dois avouer que c’était intéressant et que ça change. J’ai trouvé que c’était plutôt bien traité. On ne nous cache pas que ça peut être difficile, comment ça peut se passer, et d’ailleurs, ça nous arrache des grimaces, mais si la vérité ne nous est pas dissimulée, elle ne nous est pas jetée sur les pages. Kate Quinn a une façon de présenter les choses et de narrer les évènements assez belle, et on a rarement envie de décrocher du livre !
Quant aux évènements qui se croisent, influent les uns sur les autres… il est toujours impressionnant de constater à quel point Kate Quinn jongle avec ses personnages sans nous perdre et en compliquant les choses pour les démêler… bref, ce sont des micmacs qu’on ne se lasse pas de suivre, faites-moi confiance !

J’ai trouvé sympathique qu’à la fin, l’auteure prenne la peine de rédiger une notice historique à propos de son ouvrage. Elle nous y explique quelles modifications elle a apporté à la véritable Histoire pour permettre à son roman de voir le jour, et sur quelles bases ses personnages ont été créés, parfois de toutes pièces.
Ne vous attendez donc pas à lire un roman d’une fidélité historique à toute épreuve !

Que dire encore ? Je n’en dis jamais assez et pourtant j’écris des chroniques raisonnablement longues. Fichtre. Ah ! Oui. J’ai failli oublier de mentionner un point que je considère comme important. Plusieurs fois, on change de personnage pour suivre l’histoire : 4 personnages nous permettent de comprendre tout ce qui se trame : Vix, Sabine, Titus et Plotine. Néanmoins, un seul est à la première personne : Vix. Et vous savez quoi ? J’ai trouvé que le fait que seul lui raconte l’histoire à la première personne ajoutait encore du charme à ce roman.

Enfin, je parlerai de la fin qui me donne juste envie de m’attaquer au tome 3 ! (il va falloir que j’attende sa sortie et puis celle en poche après… snouf !) Elle nous laisse présager encore de nombreuses choses pour la suite alors je me demande bien comment tout ceci va être tourné, croyez-moi !

En conclusion, L’Impératrice des Sept Collines est certes un roman de fiction qui se passe dans un cadre historique un peu remanié par l’auteur, mais c’est aussi l’histoire de plusieurs existences qui se croisent pour former l’Histoire, de personnages emblématiques qu’on prend plaisir (ou pas) à suivre, d’une belle histoire d’amour et d’amitié qui saura vous emporter… C’est le genre de lecture que vous rêvez toujours d’avoir auprès de vous, parce que même si elle vous prend un certain temps (il fait quand même 700 pages, hein), vous ne vous ennuyez jamais et vous avez du mal à vous en décrocher, même après !
Ce sera donc un 18/20 pour moi !

5 commentaires:

  1. coucou
    j'espère que tu liras la suite L'impératrice des sept collines. ;) qui est aussi très très bien.

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  2. Ah j'ai adoré <3 vraiment un excellent livre ET une excellente série, j'ai L'impératrice des sept collines en cours de lecture, je l'ai mis un peu en pause, je l'avais enchainé trop rapidement après celui-ci et du coup j'ai eu besoin de souffler un peu.

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  3. J'ai adoré aussi <3 et L'impératrice des sept collines est top aussi, bien que je l'ai mis en pause, l'ayant commencé trop rapidement après celui-ci du coup j'ai eu besoin de souffler un peu !

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  4. j'avais aussi adoré ce tome, j'attends la suite maintenant ;)

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  5. Un premier tome qui a été un gros coup de coeur ❤
    j'ai toujours pas lus le tome 2 qui est portant dans ma pal :p mais je compte bien le sortir prochainement ^^
    merci pour ta chronique ✿

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