Parmi les romans les plus populaires
d'Alexandre Dumas ( 1802-1870 ), "Les Trois Mousquetaires" (1844), mais
aussi "La reine Margot" (1845). Dans le tumulte, le ferraillement des
armes et les cris de la tragique nuit de la Saint-Barthélémy, un jeune
Protestant en fuite se retrouve dans la chambre de... la reine Margot,
fille de l'ambitieuse et cruelle Catherine de Médicis, soeur des rois et
qui vient d'épouser Henri de Navarre, futur Henri IV !
-"Madame, murmure-t-il, par pitié, sauvez-moi !"
Commence, au coeur d'une époque baroque et sanglante, une folle épopée d'amour, d'amitié et d'aventures multiples comme seul savait les imaginer et les raconter ce génie du roman que fut Alexandre Dumas. Cette fresque tumultueuse de la Renaissance française a été, à plusieurs reprises, adaptée à l'écran.
Ah...
Je ne sais si certains le savent déjà, mais bon, je préfère me répéter, même pour ça.
Alexandre Dumas, depuis que j'ai découvert les Trois Mousquetaires, est le maître incontesté du classique pour moi. Bien sûr, j'apprécie énormément d'autres auteurs classiques, mais... Ils n'ont pas la plume de cet homme qui joue à la fois à l'historien, et au conteur.
La Reine Margot est un bon gros pavé qu'il faut avoir le courage de lire, disons le tout de suite! Naaaan, c'est pas un pavé comme ceux que l'on peut avoir, genre Angel, qui sont écrits gros.
La Reine Margot... c'est un livre de complots, de guerre, de chrétiens, mais de chrétiens catholiques ou huguenots, allons bon, ce n'est pas la même chose, et beaucoup perdrons leur tête pour moins que cela!
Dans le tumulte d'une France divisée par les guerres de religion, où Charles IX semble régner mais où Catherine de Médicis exerce d'une main de fer la régence, on vient d'unir Marguerite la soeur du roi, à Henri de Bourbon, huguenot. Une alliance qu'aucun des deux n'apprécie, sauf peut-être pour des raisons d'ambitions, et chacun sait que ce mariage est tout sauf d'amour. Ils sont roi et reine de Navarre, et ne partagent même pas leur couche.
Allons! Pas d'esclandre, voyons, l'époque n'est pas non plus la plus morale qui soit, quoi qu'on en dise, croyez-moi!
Marguerite, surnommée Margot par son frère, va rencontrer un gentilhomme du nom de La Mole, qui vient à Paris pour le Roi de Navarre, à son service, et surtout pour le prévenir que quelque chose de dangereux se prépare, contre lui et contre les protestants. Mais avant que La Mole ait pu prévenir son roi, une chasse au huguenot est lancée et voici Henri de Navarre obligé de se convertir. La Mole en fait de même, sauvé par Marguerite in extremis.
Va naître entre eux une passion dévorante, au milieu de complots tous plus farfelus et ingénieux les uns que les autres!
Catherine de Médicis n'aime pas Charles IX, son fils ainé. Elle préférerait que son cadet règne, mais selon les prédictions, les oracles qu'elle consulte et compagnie (oh l'infâme), celui qui doit régner est Henri de Navarre, et il règnera lorsque ses trois fils seront morts.
Vous pensez donc bien que la reine mère va faire en sorte que son beau-fils finisse hors course rapidos cocos!
Seulement... elle n'avait pas prévu que sa fille deviendrait alliée avec ce traître, et que tous ses plans pourraient bien capoter, et même pire... entraîner une chute qu'elle essaie d'empêcher.
Enfin bref, vous l'aurez compris, ce livre est un classique vrai de pur de dur, c'est le genre de bouquin où il y a de nombreux personnages, chose que j'aurais presque regrettée si je n'avais pas la faculté de m'habituer assez vite, où il faut vraiment s'immerger pour comprendre, et où le repos du cerveau n'est nullement conseillé.
Parfois, on peut avoir l'impression que cela traine en longueur, malheureusement, devrais-je dire, chaque élément est indispensable.
D'autres défauts que je pourrais regretter, c'est le manque de moralité dans ce livre, mais en même temps, Alexandre Dumas ne fait que romancer une période de l'Histoire qui semble avoir eu lieu... Tuer les protestants sur un coup de tête, les machinations de la reine mère et ses cultes impies pour déjouer l'avenir... C'est... ça vous file froid dans le dos.
Surtout au vu de la fin, que je trouve... révoltante, que je n'aime pas, entre nous soit dit. Mais l'Histoire est l'Histoire, ce n'est pas maintenant que nous pourrons changer le passé !
En revanche, j'ai trouvé certains points fort enrichissants ! Les petites manies de la cour, les chasses du roi, les dialogues où il faut percer les sous-entendus, les complots qui si vite dénoués sont renoués par ceux qui devaient être piégés... Les amitiés et amour loyaux qui naissent dans ce livre sont un réel bon point pour ce roman !
Et puis la plume de Dumas... Tantôt sarcastique, ou doucereuse en apparence, et parfois presque admirative, on le sent. Il ne peut pas s'empêcher de s'impliquer dans ses écrits, et c'est juste extra, je trouve. On le sent lui à travers ses mots.
C'est dur de donner une note à un livre pareil... mais ce sera un 15/20 néanmoins !
-"Madame, murmure-t-il, par pitié, sauvez-moi !"
Commence, au coeur d'une époque baroque et sanglante, une folle épopée d'amour, d'amitié et d'aventures multiples comme seul savait les imaginer et les raconter ce génie du roman que fut Alexandre Dumas. Cette fresque tumultueuse de la Renaissance française a été, à plusieurs reprises, adaptée à l'écran.
Ah...
Je ne sais si certains le savent déjà, mais bon, je préfère me répéter, même pour ça.
Alexandre Dumas, depuis que j'ai découvert les Trois Mousquetaires, est le maître incontesté du classique pour moi. Bien sûr, j'apprécie énormément d'autres auteurs classiques, mais... Ils n'ont pas la plume de cet homme qui joue à la fois à l'historien, et au conteur.
La Reine Margot est un bon gros pavé qu'il faut avoir le courage de lire, disons le tout de suite! Naaaan, c'est pas un pavé comme ceux que l'on peut avoir, genre Angel, qui sont écrits gros.
La Reine Margot... c'est un livre de complots, de guerre, de chrétiens, mais de chrétiens catholiques ou huguenots, allons bon, ce n'est pas la même chose, et beaucoup perdrons leur tête pour moins que cela!
Dans le tumulte d'une France divisée par les guerres de religion, où Charles IX semble régner mais où Catherine de Médicis exerce d'une main de fer la régence, on vient d'unir Marguerite la soeur du roi, à Henri de Bourbon, huguenot. Une alliance qu'aucun des deux n'apprécie, sauf peut-être pour des raisons d'ambitions, et chacun sait que ce mariage est tout sauf d'amour. Ils sont roi et reine de Navarre, et ne partagent même pas leur couche.
Allons! Pas d'esclandre, voyons, l'époque n'est pas non plus la plus morale qui soit, quoi qu'on en dise, croyez-moi!
Marguerite, surnommée Margot par son frère, va rencontrer un gentilhomme du nom de La Mole, qui vient à Paris pour le Roi de Navarre, à son service, et surtout pour le prévenir que quelque chose de dangereux se prépare, contre lui et contre les protestants. Mais avant que La Mole ait pu prévenir son roi, une chasse au huguenot est lancée et voici Henri de Navarre obligé de se convertir. La Mole en fait de même, sauvé par Marguerite in extremis.
Va naître entre eux une passion dévorante, au milieu de complots tous plus farfelus et ingénieux les uns que les autres!
Catherine de Médicis n'aime pas Charles IX, son fils ainé. Elle préférerait que son cadet règne, mais selon les prédictions, les oracles qu'elle consulte et compagnie (oh l'infâme), celui qui doit régner est Henri de Navarre, et il règnera lorsque ses trois fils seront morts.
Vous pensez donc bien que la reine mère va faire en sorte que son beau-fils finisse hors course rapidos cocos!
Seulement... elle n'avait pas prévu que sa fille deviendrait alliée avec ce traître, et que tous ses plans pourraient bien capoter, et même pire... entraîner une chute qu'elle essaie d'empêcher.
Enfin bref, vous l'aurez compris, ce livre est un classique vrai de pur de dur, c'est le genre de bouquin où il y a de nombreux personnages, chose que j'aurais presque regrettée si je n'avais pas la faculté de m'habituer assez vite, où il faut vraiment s'immerger pour comprendre, et où le repos du cerveau n'est nullement conseillé.
Parfois, on peut avoir l'impression que cela traine en longueur, malheureusement, devrais-je dire, chaque élément est indispensable.
D'autres défauts que je pourrais regretter, c'est le manque de moralité dans ce livre, mais en même temps, Alexandre Dumas ne fait que romancer une période de l'Histoire qui semble avoir eu lieu... Tuer les protestants sur un coup de tête, les machinations de la reine mère et ses cultes impies pour déjouer l'avenir... C'est... ça vous file froid dans le dos.
Surtout au vu de la fin, que je trouve... révoltante, que je n'aime pas, entre nous soit dit. Mais l'Histoire est l'Histoire, ce n'est pas maintenant que nous pourrons changer le passé !
En revanche, j'ai trouvé certains points fort enrichissants ! Les petites manies de la cour, les chasses du roi, les dialogues où il faut percer les sous-entendus, les complots qui si vite dénoués sont renoués par ceux qui devaient être piégés... Les amitiés et amour loyaux qui naissent dans ce livre sont un réel bon point pour ce roman !
Et puis la plume de Dumas... Tantôt sarcastique, ou doucereuse en apparence, et parfois presque admirative, on le sent. Il ne peut pas s'empêcher de s'impliquer dans ses écrits, et c'est juste extra, je trouve. On le sent lui à travers ses mots.
C'est dur de donner une note à un livre pareil... mais ce sera un 15/20 néanmoins !
Dommage que tu n'aies pas plus accroché à cette histoire... Personnellement je l'ai adoré !
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