vendredi 4 septembre 2015

Thunder Road (Katie McGarry)

Book 1 : Nowhere but here

An unforgettable new series from acclaimed author Katie McGarry about taking risks, opening your heart and ending up in a place you never imagined possible.

Seventeen-year-old Emily likes her life the way it is: doting parents, good friends, good school in a safe neighborhood. Sure, she's curious about her biological father—the one who chose life in a motorcycle club, the Reign of Terror, over being a parent—but that doesn't mean she wants to be a part of his world. But when a reluctant visit turns to an extended summer vacation among relatives she never knew she had, one thing becomes clear: nothing is what it seems. Not the club, not her secret-keeping father and not Oz, a guy with suck-me-in blue eyes who can help her understand them both.

Oz wants one thing: to join the Reign of Terror. They're the good guys. They protect people. They're…family. And while Emily—the gorgeous and sheltered daughter of the club's most respected member—is in town, he's gonna prove it to her. So when her father asks him to keep her safe from a rival club with a score to settle, Oz knows it's his shot at his dream. What he doesn't count on is that Emily just might turn that dream upside down.

No one wants them to be together. But sometimes the right person is the one you least expect, and the road you fear the most is the one that leads you home.

Encore un roman de Katie McGarry qui m’aura emportée de façon incroyable ! Alors certes, ce n’est pas un coup de cœur et j’ai ressenti des choses différentes qu’avec la saga Pushing the limits, mais franchement… wouhou !

Nowhere but here nous parle de Emily et Oz, deux jeunes adultes qui viennent de mondes radicalement à part. Enfin, pas tout à fait. Emily vit avec sa mère et son père adoptif. Elle voit son père biologique une fois par année, sans pousser plus loin une curiosité qui la démange quand même. Sauf qu’un jour, sa famille reçoit un mail d’Eli annonçant que sa mère (donc la grand-mère d’Emily) est décédée. Les trois décident donc de revenir au Kentucky pour les funérailles, sauf qu’il semblerait qu’Olivia ne soit pas morte et qu’Emily ait mis les pieds dans un sacré bourbier, qui lui en apprendra plus sur elle qu’elle ne l’imagine.
Oz, lui, fait presque partie du club de moto d’Eli. Ils forment une famille qui protège ses membres, et il ne rêve que d’intégrer cette sorte d’élite que beaucoup condamnent. L’entrée dans sa vie d’Emily et des secrets de sa vie va complètement faire dérailler ses projets ainsi que toute son existence.

Ce résumé est très limité puisqu’il n’y a que l’essentiel pour comprendre l’histoire. Vous voyez bien que la 4ème de couverture est juste bien plus développée… enfin.
Ce roman est juste incroyable ! C’est à la fois complexe mais simple, entraînant tout en nous glissant sur des arrêts sur image… comment vous décrire ?

Chaque bouquin de Katie McGarry qui finit entre mes mains me semble une nouvelle perle. Pourtant, je dirais qu’elle a réussi à innover ici. Pas dans le sens où il y a toujours cette notion de gravité, de tension et de danger, même, qu’elle sait instaurer. Non, non, elle a cependant réussi à nous faire mariner et nous faire hésiter sur la réelle existence du danger et de la tension développée dans le livre. Pourquoi ? Parce qu’Emily n’y croit pas et qu’Oz lui y croit et qu’au bout d’un moment, on ne sait plus à qui donner tort ou raison.

D’ailleurs, le roman a un aspect beaucoup plus psychologique que les autres, je trouve. On s’arrête beaucoup plus sur les ressentis de nos personnages, sur leur façon de penser et la façon dont ils se confrontent et se heurtent. Parce que c’est souvent ça, en fait. Dans Pushing the limits, les héros ont une attirance indéniable et des bâtons dans les roues. Dans Nowhere but here, Emily et Oz se haïssent parce qu’ils font partie de deux mondes différents et parce que l’histoire planant autour d’Emily a fait beaucoup de mal. Sauf que les secrets étant ce qu’ils sont… ça n’est pas fini.

Sauf que l’histoire d’amour commence au moment même où cette attirance n’est pas niée et où… Emily commence à en jouer pour avoir le dessus. Elle n’imagine pas qu’elle s’enfonce encore un peu plus dans le caca, quelque part. Sauf qu’Oz va devenir une lumière, pour elle. Pas tout de suite, cependant, et ça aussi c’est assez innovant : cette romance prend beaucoup plus son temps ! Sans nous donner d’impression de frustration, on a une évolution réelle de la façon de penser de chacun, et Emily évolue aussi par rapport à sa famille biologique qui n’a rien de simple.

C’est un roman à la fois d’aventure, d’amour, de maturité et… de tellement de choses. J’aime qu’il y ait toujours cette part de valeur, de croire en ses rêves, d’aller plus loin que ses peurs, de chercher la vérité même si elle fait mal, de cet amour qui toujours englobe nos personnages même quand ils ne le veulent pas ! C’est juste magnifique, ça vous tiraille et ça nous présente bien l’humain tel qu’il est réellement : ni tout blanc, ni tout noir.

Vous comprendrez donc que j’ai aimé les deux héros ? J’ai parfois eu un peu de mal avec Emily, parce qu’elle a beaucoup de peur en elle, et elle a du mal à sortir des sentiers qu’elle a toujours connus. En même temps, qui pourrait l’en blâmer ? Oz est vraiment sympa aussi, même si parfois il est un peu brute de décoffrage. Je pense qu’il fera chavirer quelques cœurs !

Concernant la plume, elle est toujours aussi sympa. Elle se fond en deux personnages pour leur donner chacun une voix, et c’est magique. C’est juste, les descriptions sont vraiment bien, la psychologie est présente sans l’être trop… que dire de plus ? C’est parfois poétique, ça peut vous couper le souffle, c’est… on dirait un peintre. Et nous, nous sommes les yeux rivés sur l’œuvre d’art qu’il réalise.

Enfin bref, c’est encore un succès pour moi, je n’ai pas dit la moitié des trucs que j’ai ressenti durant ma lecture, mais ces romans sont complexes, riches et ils nous emportent une bonne fois pour toutes. Nowhere but here m’a bien emportée et prendre mon temps pour le lire avant de ne plus vouloir le lâcher sur la fin a été un pur plaisir. En compagnie de personnages réels, avec leurs qualités et leurs défauts, vous vivrez une aventure romantique mais aussi incroyablement tendue et sérieuse, une quête d’identité et… une plongée superbe dans le monde des clubs de moto !
Ce sera un 18/20 pour et vivement le tome 2 !


Book 2 : Walk the Edge



Smart. Responsible. That's seventeen-year-old Breanna's role in her large family, and heaven forbid she put a toe out of line. Until one night of shockingly un-Breanna-like behavior puts her into a vicious cyberbully's line of fire—and brings fellow senior Thomas "Razor" Turner into her life.

Razor lives for the Reign of Terror motorcycle club, and good girls like Breanna just don't belong. But when he learns she's being blackmailed over a compromising picture of the two of them—a picture that turns one unexpected and beautiful moment into ugliness—he knows it's time to step outside the rules.

And so they make a pact: he'll help her track down her blackmailer, and in return she'll help him seek answers to the mystery that's haunted him—one that not even his club brothers have been willing to discuss. But the more time they spend together, the more their feelings grow. And suddenly they're both walking the edge of discovering who they really are, what they want, and where they're going from here.

Allez, hop ! On s’étire un bon coup et on essaie de rédiger la chronique d’un roman qui m’a encore une fois emportée ! Katie McGarry réussit son tour à chaque fois, on dirait…

Le deuxième tome de la saga Thunder Road permet au lecteur de retrouver le clan du « Règne de la Terreur », un club de motards qui fait un peu peur à tout le monde à Snowflake. Cette fois-ci, c’est Razor qui est concerné… lui qui n’a plus sa mère depuis des années, et ignore dans quelles conditions elle est décédée. Il ne possède que des bribes et se construit difficilement avec ça. À côté de lui, nous avons Breanna, qui elle, est son exact opposé. Elle est la cinquième enfant d’une famille de neuf, possède un cerveau qui enregistre énormément d’informations mais peut peiner à les réutiliser, comme en maths. Elle est cataloguée comme un petit génie bien sage… Razor va entrer assez brusquement dans sa vie, et tous les deux vont se retrouver liés de la plus étrange des façons. La plus étrange, mais la plus dangereuse, aussi.

Je me rends compte qu’il est assez difficile de faire un résumé du début de Walk the Edge. Pourquoi ? Parce que si ce qui se met en place pour unir nos deux héros est assez subtil et bien amené, quand on essaie de le pointer en quelques éléments, ça paraît tout de suite légèrement incongru. Et c’est ça qui fait la magie des romans de Katie McGarry : l’improbable se produit et on a l’impression que tout se fait par magie !

Encore une fois, j’ai été transportée par l’un de ses romans. Généralement, je sais que je vais aimer, avec elle. Pourquoi ? Parce qu’elle a le don pour créer des personnages aux caractères uniques, qui ont de véritables problèmes, qui nous apprennent des choses et savent remettre nos propres vies en perspective. C’est beau, ce que j’écris, n’est-ce pas ? Et c’est vrai, en plus.

Breanna et Razor sont différents et pourtant possèdent en eux un gouffre qu’ils ont du mal à contempler. La mort de sa mère pour lui, qu’il a toujours vécu comme un abandon douloureux puisqu’on lui répète que c’est un accident ou qu’elle s’est suicidée ; et la spécificité de Breanna compilée à une ambiance familiale pesante. Tout concourt à créer un mal-être chez les deux protagonistes, qui semblent pourtant vouloir avancer et possèdent une volonté qui force l’admiration. C’en est presque du désespoir, ça fait mal au cœur, mais lorsqu’ils se trouvent, ils sont si beaux…

Oui, je sais. Mon cœur de fleur bleue a encore craqué devant cette romance forte et pas évidente. Tout le monde pense les connaître et les étiquette, sans jamais réellement les voir, et il y a un gros enjeu sur cette notion de réputation qui fait réfléchir, dans ce livre. Ça complique énormément leur relation, et quelque part, Breanna et Razor sont tous les deux brisés. Ils doivent apprendre à faire face à leurs propres démons, tout en essayant de protéger l’autre. C’est une très belle histoire, très adulte, je trouve, déjà. Et pourtant, Katie McGarry les fait énormément évoluer entre ses pages.

Arh, je suis encore subjuguée. Razor m’a beaucoup touchée, parce que s’il a beaucoup de rage et de violence en lui, il peut être d’une fidélité et d’une douceur avec Breanna qui m’ont fait tellement fondre ! J’aime ce genre de héros. Il n’a pas peur d’aimer, n’a pas peur de ses sentiments et ça fait du bien ! Il n’essaie pas de nier et ça change ! Pareil pour Bre, qui n’essaie pas de fuir. Elle est là, elle s’accroche, sans en faire trop. Ouh, qu’ils sont beaux.

Ce qui est très beau, aussi, et je dois bien le dire à chaque roman de cette auteure… c’est que si elle fait monter la température, elle ne dépasse pas certaines limites et ça reste de toute façon très beau. Vous, vous avez chaud et vous êtes sur un nuage en la lisant, mais on reste dans du très soft et ça me plaît beaucoup.

En dehors de ça, il existe une intrigue qui est très étroitement mêlée à l’histoire d’amour. Puisque nous sommes dans un club de motards et qu’on a déjà vu dans le 1 qu’il y avait des rivalités, des conflits d’importance majeure avec un autre club voisin, on retrouve tous ces soucis, qui prennent ici une dimension beaucoup plus grave. Et en plus de ça, on ajoute les soucis de Breanna qui peuvent être extrapolés à de nombreuses situations actuelles. J’ai beaucoup apprécié la référence au cyber-harcèlement et à l’impact qu’une seule photo peut avoir sur la vie entière d’une personne. Ça fait beaucoup réfléchir.

Bref, j’arrive là et je me dis que j’ai trouvé une histoire avec des thèmes difficiles, qui demande parfois de s’arrêter parce que c’est beaucoup, mais la dernière partie du roman est addictive au possible. On se laisse emporter, avec cette plume qui fait ressortir une incroyable sensibilité, présente des personnages uniques et complexes, véritablement humains et réalistes. J’ai tellement aimé ce couple ! Ce n’est pas seulement une histoire d’amour, c’est tellement plus et on en veut encore ! (le tome 3 sort en janvier, je crois que je vais craquer… voire même précommander)

En conclusion, Walk the Edge est encore un immense succès pour moi. Si ce n’est pas un coup de cœur, on passe quand même très proche et je regarde ce livre avec amour et douceur, actuellement. Il y a des sujets importants, qui font réfléchir, avec des personnages brisés mais qui souhaitent avancer et dont l’union va former quelque chose de brillant, merveilleux. Leur histoire d’amour est belle, l’intrigue est très bien ficelée et réaliste, et on rêve quand même… Bref, tellement cool, tellement Katie McGarry et tellement surprenant aussi ! Je suis en amour d'un roman.
Ce sera donc un 19/20 pour moi et je ne peux que vous le recommander ! Et du fond du cœur !



Book 3 : Long Way Home



Seventeen-year-old Violet has always been expected to sit back and let the boys do all the saving.

It’s the code her father, a member of the Reign of Terror motorcycle club, raised her to live by. Yet when her dad is killed carrying out Terror business, Violet knows it’s up to her to do the saving. To protect herself, and her vulnerable younger brother, she needs to cut all ties with the club—including Chevy, the boy she’s known and loved her whole life.

But when a rival club comes after Violet, exposing old secrets and making new threats, she’s forced to question what she thought she knew about her father, the Reign of Terror, and what she thinks she wants. Which means re-evaluating everything: love, family, friends... and forgiveness.

Caught in the crosshairs between loyalty and freedom, Violet must decide whether old friends can be trusted—and if she’s strong enough to be the one person to save them all.

4 chroniques dans les pattes ? Il serait temps, je crois, de me mettre un coup de pied aux fesses, et de rattraper mon retard !

Long way home nous parle de Violet et Chevy, un duo que nous avons déjà plusieurs fois croisé dans les tomes précédents de Thunder Road. Loin d’être deux étrangers, Violet et Chevy sont sortis ensemble, avant qu’elle ne mette un terme à leur histoire. Mais rien n’est terminé lorsque les sentiments ne sont pas éteints… et si Violet refuse d’avoir affaire au club de riders avec lequel elle a grandi, elle va bientôt apprendre qu’elle ne peut pas se passer de Chevy… pas plus qu’il ne peut se passer d’elle. Mais quelles épreuves devront-ils traverser pour le réaliser ?

Ce roman promettait d’être à la fois hyper prenant et assez compliqué, au vu de ce que nous avions aperçu dans les tomes précédents : il est rare que les héros aient déjà un passif amoureux, un caractère comme celui de Violet, et une situation aussi complexe que celle dans laquelle Thunder Road se situe. Parce que oui, tout se mêle déjà à la base pour que cela promette quelque chose de relativement compliqué. Mais en plus de ça, Katie McGarry décide de coincer au tout début du roman une situation bien explosive, histoire de déclencher encore plus de complications.

Le résultat ? Le lecteur est légèrement pris dans l’histoire. Mais alors, juste légèrement. Non seulement les histoires de cette romancière sont toujours addictives, mais elle nous fait prendre ici un virage assez inattendu. C’est un rythme qui diffère de ses romances antécédentes, et c’est vachement bien, je trouve. Tout a été bien dosé, parce que rien n’était joué, et que tout, encore une fois, ne tournait pas uniquement autour de la romance. Il y a des mécanismes psychologiques super intéressants à l’œuvre dedans, avec en plus des éléments d’intrigue savamment imbriqués.

Parlons un peu des personnages. Chevy et Violet ont des caractères différents, mais assez semblables sur plusieurs points. Violet a un tempérament de feu, très vivant, elle n’a pas sa langue dans sa poche et ne craint pas de répliquer à qui tentera de lui marcher sur les pieds. Ce qu’elle va vivre va pourtant la transformer, elle qui avait déjà vécu de sombres heures avant cela. Chevy, quant à lui, est un homme fidèle, mais qui se sent écartelé de bien des manières, notamment envers le club et ses différents pôles externes. C’est un gars au grand cœur, qui sent pourtant une chape de plomb lui couvrir les épaules. Comment avancer correctement dans la vie ainsi ?

Dans la trempe des bons romans actuels, il y a un vrai fond dans l’intrigue que nous dévoile l’auteur. Les caractères sont très bien construits, et tout au long du roman, ils semblent se redessiner, comme chacun de nous le vivrait à l’occasion d’épreuves. Ces épreuves mêlent à la fois les personnages seuls, mais ensemble, et aussi en incluant le club. Tout prend une dimension plus large, chose qui avait déjà été dessinée dans les tomes précédents. C’est tellement fascinant de voir les choses évoluer au travers de plusieurs trajectoires et de personnages différents.

À propos de la romance, je l’ai beaucoup appréciée. Elle est loin d’être simple, alors que les sentiments qui lient Chevy et Violet sont juste évidents. Ils s’aiment et ont besoin l’un de l’autre. Cela demande toutefois un travail de chaque côté, et cette relation (si belle !) va demander des efforts à chacun. C’est hyper mature pour un roman adolescent. Et c’est juste merveilleux, parce qu’encore une fois, Katie McGarry nous présente la profondeur réelle d’une histoire d’amour, et l’unicité de chacune ! (oui, je m’emballe.)

Concernant la plume, je suis toujours admirative du don que possède cette romancière à coller son style et sa narration à chaque personnage. Le récit en alternance de points de vue n’est clairement pas évident, mais elle s’en sort à chaque fois avec brio. Les sentiments exprimés sont d’une justesse touchante, on vibre avec les personnages, et on se laisse emporter dans leur tourbillon de ressentis, aussi complexes soient-ils. Si l’écriture n’a pas été aussi addictive que certains, on y gagne ici en richesse, d’une certaine façon, et j’aime autant.

Les valeurs impliquées dans ce roman sont assez belles. Bien sûr, l’amour possède une place centrale, puisqu’il permet de tout surmonter. La confiance que l’on accorde à l’autre, et la nécessité de s’écouter (non pas s’entendre) dans une discussion est hyper importante aussi. On capte aussi tout l’enjeu de se trouver soi, de faire ses expériences pour faire ses choix, pour être en conformité avec sa conscience. Le chemin qu’emprunte Chevy est très beau, je trouve, dans la réalisation de soi, et l’acceptation de soi par les autres. Ne cessons jamais d’aimer les autres comme ils sont, et non pas comme nous voudrions qu’ils soient. C’est important.

En conclusion, Katie McGarry a encore écrit une pépite. Si le récit est moins addictif que certains de ses romans, il gagne une richesse d’intrigue et de profondeur psychologique qui est franchement agréable. Cette romancière a toujours su créer des caractères uniques, et elle nous embarque encore avec Violet et Chevy, dans une histoire prenante, aux dimensions cachées (quel cross over ! J’étais fine folle, avec). L’histoire d’amour m’a vraiment touchée, par sa délicatesse et les épreuves traversées. C’était trop cool, et j’ai hâte de découvrir le prochain roman qui sortira en janvier 2018 !
En attendant, ce sera un 18/20 pour moi, et je vous recommande sincèrement ce tome 3, et la trilogie entière !

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