Tome 1
À 18 ans, Cassiopée
est contrainte de quitter l’orphelinat dans lequel elle vit depuis ses 6 ans.
Seule au monde, l’adolescente est lâchée dans la ville. Alors qu’elle vient de
se faire violemment agresser par deux inconnus, elle fait la connaissance du
mystérieux et séduisant Gabriel. Grâce à lui, Cassiopée découvre sa véritable
nature : elle fait partie des Myrmes, un peuple ailé doté d’incroyables
pouvoirs sensoriels…
J’avais entendu tellement de bien concernant ce roman que je
me suis dit que mon achat trimestriel chez France Loisirs était tout trouvé. J’étais
quand même sceptique, comme toujours quand on me vante trop un roman… eh bien
je comprends mieux l’engouement, désormais !
Les ailes d’émeraude 1
nous présente Cassiopée O’Brien, orpheline qui va découvrir dans des
circonstances étranges et pour le moins mouvementées qu’elle n’est pas
seulement humaine. Elle est une Myrme, un être doté d’ailes et de sens beaucoup
plus développés comme certains animaux. Sauf qu’au sein même des Myrmes, il
existe des conflits… et Cass pourrait bien se trouver prise entre deux feux. Ce
n’est pas la présence de Gabriel, qui met tous ses sens en émoi, qui va
arranger les choses… ou si ?
J’avoue que j’étais curieuse de tester ce roman. Très vite,
je me suis aperçue qu’en effet, le ton était drôle, prenant et que les
aventures de Cassiopée étaient franchement inédites. Et puis, du fantastique
avec de la romance, quoi ! Mon genre chouchou ! Comment pouvais-je
décemment résister ?
On fait donc la connaissance de Cass, caractère bien trempé,
idées fixes mais capacité à se remettre en question si besoin. Elle a quand
même quelques réactions qui valent le détour, et la voir évoluer dans le roman
est un vrai plaisir. C’est vraiment une héroïne forte qui possède des
faiblesses, ce qui nous la rend humaine, j’aime beaucoup. Et puis, ses
hésitations amoureuses et autres sont sincèrement réalistes, on aurait presque
dit les miennes, donc je n’ai pu que me sentir proche d’elle !
Les autres personnages ne sont pas en reste : ils
possèdent chacun une véritable personnalité avec de multiples facettes qui les
rendent intéressants. Tous sont à même de provoquer différentes émotions chez
le lecteur, notamment Gabriel qui est un sacré phénomène mais pour lequel j’ai
évidemment craqué. Qui ne rêverait pas d’un gars comme lui ?
Mais bon, Gabriel et Cass ne font pas toute la gamme des
personnages. D’ailleurs, je dois avouer que la trame qui est tissée dans ce
premier tome est vraiment riche. D’accord, le bouquin est gros, donc en même
temps, ça va avec. Mais… pas seulement ! Les personnages sont intelligents
et ça donne une ampleur franchement agréable, d’autant plus que les
retournements de situation en deviennent inattendus.
Parlons de l’univers surnaturel que l’on découvre. Awh, il
est riche ! Il est même très riche, et attention, ce n’est qu’un premier
tome ! Que de surprises nous attendent et nous fascinent ! Parce que
clairement, je ne sais pas vous, mais avoir des ailes de papillon et développer
des dons sensoriels, clairement j’dirais pas non. Ça fait rêver et ça fait un
bien fou ! Je renoue ainsi avec mon genre chouchou : le fantastique. Parce
que oui, il y a des éléments réalistes et même des incursions du surnaturel
dans notre monde, ce n’est pas de la fantasy et je dis carrément oui !
J’approuve d’autant plus qu’Alexiane de Lys possède une
jolie plume assez franche, pleine de vitalité et assez légère et pleine d’humour.
C’est exactement le genre de lectures que j’aimerais retrouver plus souvent,
avec cette petite pointe de sarcasme et un juste dosage de tension pour qu’on n’ait
pas envie de lâcher le roman. Sans parler des descriptions juste suffisantes,
pas trop longues ni trop courtes ! On se représente bien l’ensemble, c’est
aussi un gros point fort.
Ah, et les valeurs. Je crois que j’ai trouvé par moments
Cassiopée un peu trop violente, mais je suis mal placée pour dire quelque
chose, vu ce que ma propre héroïne peut développer comme réactions. En dehors
de ces réflexions parfois très cruelles, que l’on ressent sûrement au moins une
fois dans sa vie, Cassiopée incarne quand même la droiture. Elle se soucie des
autres, même si ce n’est pas parfait et qu’elle peut blesser. Elle essaie de
faire ses choix selon son idée de la justice et de l’amour, et elle va se
battre pour ce en quoi elle croit.
Je voudrais revenir une dernière fois sur cette intrigue qui
prend son temps sans avoir de temps mort. C’est assez rare, tout de même,
néanmoins les changements qui se produisent n’interviennent pas d’un seul coup
comme ça. On a le temps de voir des trucs pas nets se produire avant que tout
ne lui tombe sur le coin du nez, et ensuite, tout s’emballe avant de se calmer
un peu. Et comme je l’ai dit, ça reste fascinant. Quand Cass découvre ses
facultés, c’est juste génial ! Et les dernières pages du bouquin (je dirais
les 150 dernières pages) m’ont empêchée de lâcher l’affaire : je voulais
savoir ! En plus de ça, Alexiane de Lys va au bout des choses. Si un truc
doit être horrible, elle le met. Sans faire étalage de détails, mais elle y va.
Ça aussi, c’est un bon truc ! (non, je ne suis pas en train de louer le
sadisme de l’auteur… ou peut-être que si. Faut bien se soutenir entre nous, non ?)
En conclusion, Les
ailes d’émeraude 1 est un véritable succès pour moi. Si ça n’a pas été un
coup de cœur, je peux cependant assurer qu’il s’agit de ma découverte du mois. L’univers,
les personnages, l’intrigue, la plume et l’humour… c’était du bon fantastique
et ça m’avait manqué ! J’ai aimé quasiment tout ce que j’y ai trouvé,
hormis les quelques pulsions un peu trop violentes parfois de Cassiopée, mais
ça risque bien d’être la seule ombre au tableau. Je comprends désormais mieux
pourquoi les gens ont apprécié, j’ai été conquise aussi !
Ce sera donc un 19/20
pour moi et je vous le conseille ! Ne vous laissez pas freiner comme moi,
essayez !
Tome 2 : L'exil
Tome 2 : L'exil
Tout juste de retour
au camp des Myrmes, Cassiopée affronte une première déconvenue : Gabriel est en
mission espionnage et les deux amoureux sont brutalement séparés.
Arrive alors Leo, un
jeune homme mal en point qui ne tarde pas à révéler sa véritable identité.
Ancien Myrme devenu Narque, il a un message à lui transmettre de la part de
Manassé : Cassiopée est en danger au sein de son propre clan. Le mal serait-il
vraiment du côté des Narques ?
Gabriel est bientôt
porté disparu. Tout porte à croire qu'il est mort, mais Cassiopée, convaincue
du contraire, décide de suivre son intuition et part à sa recherche, aidée de
ses amis.
Bon ! Il est temps d’arrêter de procrastiner et de
taper cette chronique ! D’autant plus que ça a été une super lecture, tout
comme le tome un !
Dans L’exil, nous
retrouvons Cassiopée chez les Myrmes, mais elle n’est pas en odeur de sainteté.
Au contraire, la voici considérée comme une paria, essentiellement à cause de
sa filiation. En plus de ça, Gabriel a été envoyé en mission loin d’elle, elle
doit donc faire profil bas et attendre que l’orage passe. Sauf que des
évènements inattendus vont venir bouleverser ses plans, et la forcer à fuir du
village, pour sauver Gabriel, porté disparu et prétendu mort par les autorités
des Myrmes. La vérité se trouverait-elle chez Manassé ? Quels fils
tire-t-il ?
Il est compliqué de faire un résumé qui dise tout ce qu’il
faut sans réellement vous spoiler. Ce que je peux déjà vous assurer, c’est que
c’est aussi prenant que le premier opus, toutefois de façon différente. En
effet, désormais que nous sommes dans l’univers, que l’introduction a été
faite, nous plongeons dans les réelles manigances qui se trament entre Myrmes
et Narques, et auxquelles Cassiopée est mêlée sans même le vouloir ou le savoir
de prime abord.
L’histoire prend en profondeur, dans ce deuxième tome. Non pas
que le premier n’en avait pas, seulement, on nous balançait beaucoup d’informations,
pour nous intriguer, nous fasciner… là, on est pris à part pour émettre des
hypothèses et nous concentrer sur le cœur du problème, qui représente un beau nœud
qu’il ne va pas être évident de démêler. L’histoire se déroule d’ailleurs sur
un laps de temps plus court qu’auparavant, néanmoins, tout est aussi dense et
prenant !
L’intensité de cette suite tient aussi à la place qui est
offerte à Gabriel : nous le suivons lui seul pendant certains chapitres,
et du coup, le suspense devient plus important, parce qu’on nous donne juste
assez d’informations pour nous accrocher et en redemander.
Parlons donc des personnages, d’ailleurs. Cassiopée est une
jeune femme assez impétueuse, entière, qui va pourtant mûrir et apprendre à
réfléchir pour mieux agir. J’aime toujours autant son personnage, son énergie,
mais aussi son humanité. Elle est pleine de force, présente pourtant des
faiblesses qui nous touchent chacun à notre manière. Ses réactions face aux
évènements m’ont paru très réalistes et j’ai apprécié de voyager avec elle !
Elle représente la part d’ado que nous avons tous encore en nous, et ce côté
adulte qui survient toujours à un moment ou à un autre.
Gabriel est toujours aussi mystérieux, parfois arrogant et
énervant, mais comme Cassiopée, on a tendance à craquer sur lui ou à s’y
attacher. Sa dévotion et son amour pour elle sont très touchants, son énergie
et son intelligence ont de quoi susciter l’admiration ! En bref, c’est une
tête de mule qu’on aime beaucoup !
Les personnages secondaires sont nombreux et forment un
ensemble vraiment unique et atypique. Chacun possède son propre caractère, et
suscite des émotions diverses chez le lecteur ! Les meilleurs amis de
Cassie m’ont vraiment émue ou fait rire, tandis que des personnages comme
Manassé, Soraya ou Morgane m’ont encore vraiment agacée tout en me faisant
réfléchir. Oui, parce que généralement, les personnages potiches n’existent
pas, dans cette saga ! Et ça, c’est un gros plus pour moi !
L’humour est bien sûr toujours aussi présent. De façon
différente, moins piquante peut-être, sauf qu’il reste là et que les sourires
fleurissent souvent sur nos lèvres. Les délires d’Alexiane de Lys (notamment au
tout début avec les vieilles insultes) m’ont vraiment embarquée aussi, et c’est
sincèrement rafraîchissant ! Sans parler des sarcasmes de Cassiopée, qui
offrent une dynamique intéressante au roman aussi, avec les répliques des uns
et des autres.
Au niveau de l’imaginaire, j’avoue toujours autant apprécier
ce que je découvre dans cet univers et sous cette plume. Qui ne serait pas
fasciné par les différents sens que déploie cette auteur pour créer des
capacités hors normes ? Puis, les révélations qui nous sont faites nous
laissent assez rapidement sur les fesses. Oh, sans parler des décisions qui
sont prises ! Là, j’ai eu l’impression d’être dans un vrai roman de
fantasy/fantastique : il y a des morts, des sacrifices, et Alexiane de Lys
n’a pas eu peur d’y aller, puisqu’elle a même utilisé ces évènements pour faire
grandir ses personnages. C’est un énorme plus, ça !
Concernant la plume, je l’ai encore une fois trouvé très
fluide, avec parfois des phrases ou des répliques qui auraient mérité d’être
extraites pour les noter dans un carnet. Entre les piques d’humour, de
sarcasme, les réflexions plus sages et posées que nous pourrions parfaitement
appliquer à notre quotidien, ou certaines tournures de phrases… non, vraiment,
c’était un bouquin très riche par sa plume, parce que c’est aussi parfois
percutant.
Enfin, abordons les valeurs. L’amitié et l’amour ont une
grosse place dans cette saga, c’est un fait. C’est même ce qui tient nos
personnages debout et ensemble. Il y a la notion de pardon, y compris celui du
pardon à soi, et celle d’accepter ce qu’on ne peut changer. La confiance à l’autre
est aussi présente, surtout quand on voit les manipulations diverses dont
Cassiopée est victime ou témoin. Et bien évidemment, il est question du
dépassement de soi, surtout pour les autres (donc, d’altruisme). Bref, il y a
une foule de belles valeurs au milieu d’une histoire fascinante et prenante !
En conclusion, le deuxième tome des Ailes d’émeraude a été une lecture fascinante, prenante, avec une
intrigue qui prend en profondeur désormais que nous connaissons le contexte
imaginaire global. Alexiane de Lys nous livre une histoire qui touchera le
lecteur, osant les sacrifices et la remise en question de ses personnages.
Aucun d’entre eux n’est pas, Cassiopée reste un personnage qu’on aime suivre
avec toute sa bande, avec son humour et sa combativité. Les révélations sont
intrigantes, on a envie d’en savoir plus, et les pages défilent aisément au fil
d’une plume fluide mais percutante.
Ce sera donc un 18/20
pour moi et vivement le tome 3 !
Tome 3 : L'île des secrets
Tome 3 : L'île des secrets
Tout juste échappés
des Narques, Cassiopée, Gabriel et leurs amis affrontent une nouvelle épreuve :
leurs ennemis ont complètement détruit le village de Tornwalker, et froidement
massacré de nombreux Myrmes.
La guerre est loin
d’être finie entre les deux peuples, même si le petit groupe avance un argument
de taille : leur prisonnier, Manassé. Entre sa fille et son peuple, les
Narques, ce dernier semble avoir choisi son camp… Cassiopée lui
pardonnera-t-elle un jour ? Et combien d’épreuves aura-t-elle encore à
affronter avant de pouvoir vivre en paix son amour avec Gabriel ?
Je me suis encore débrouillée pour être en retard dans mes
chroniques. Il est temps de redresser la barre !
L’île des secrets
nous replonge auprès de Cassiopée et des siens, avec un atout de taille en
poche. Après quelques surprises mouvementées, les voilà en route pour une
contrée éloignée, avec pour destination une petite île dont ils sont loin de
deviner les secrets… mais ce qu’ils y trouveront leur permettra-t-il de
terrasser Manassé et d’arrêter enfin cette sinistre guerre ? Quels
sacrifices devront-ils encore effectuer pour cela ?
C’est en essayant de faire le résumé que je me rends compte
qu’il s’est véritablement passé nombre de choses pendant ce tome 3. Après avoir
dévoré les deux premiers opus, il était normal que le troisième suive la
lignée, et que je n’en fasse qu’une bouchée. Si la lecture a été moins
addictive que pour les deux premiers, je n’en ai pas moins savouré ce que je
découvrais.
J’ai retrouvé avec plaisir la bande de Cass, unique en son
genre. Cassiopée est de même une fille qu’on aime suivre, pour sa trempe, sa
détermination et sa spontanéité. C’est aussi quelqu’un d’intelligent, mais pas
sans défaut, ce qui fait qu’on l’apprécie bien. Ses faiblesses peuvent devenir
des forces, et elle va en baver, dans ce tome 3, sans pour autant renier celle
qu’elle est.
Les autres personnages sont vraiment sympathiques aussi, et
j’avoue avoir un faible pour Gabriel, qui est lui aussi remarquablement têtu et
qui s’enferme vite dans sa douleur. Le lien qui l’unit à Cass est très
touchant, très fort, et c’était un plaisir de les voir évoluer. Ne parlons pas
des compères, comme Saphira, Isha ou les garçons. Je regrette cependant que les
garçons ne soient pas plus décrits ou présents, en dehors d’Isha et Nathan. Ils
sont là comme des crans de sûreté, mais moins impliqués que d’autres.
Au niveau de l’intrigue, dès les premières pages, nous
sommes plongés dans le bourbier assez profond dans lequel nos amis se sont
enfoncés. Clairement, ça ne va pas être simple de résoudre tout ceci, et
Alexiane de Lys nous a réservés bon nombre de retournements de situations. Certains
plus prévisibles que d’autres, mais le tout se lit avec plaisance et on se
laisse surprendre aussi.
Avec tout ça, il est difficile de ne pas remarquer que l’histoire
a mûri, et les personnages aussi. Nous apprenons encore pas mal de trucs sur
les Myrmes et leur espèce, et ça, c’était juste vraiment chouette. Entre Cassiopée
qui en apprend plus sur elle et sur l’ensemble des siens, et la complexité de l’intrigue,
il y a de quoi se laisser embarquer. D’autant que le tout ne se déploie
vraiment que sur la fin ! Alexiane de Lys avait tout prévu, et le lecteur
ne le réalise pas de suite. Ça, c’est du grand art.
Pour être honnête, si j’ai mis du temps à rédiger cette
chronique, c’est que si j’ai bien aimé ce roman, je ne sais pas tellement quoi
en dire de plus que les lignes ci-dessus. J’ai vraiment apprécié ma lecture, j’ai
retrouvé avec plaisir Cassiopée et son caractère bien trempé, provoquant des
sarcasmes dont je suis fan, mais étrangement, j’avais aussi l’impression qu’il
manquait quelque chose. Peut-être était-ce dû au fait que j’ai deviné des
actions avant qu’elles n’arrivent, ou que d’autres choses m’ont parues trop
classiques… cela n’enlève en rien la qualité du roman, mais je sais pas, il me
manquait un petit truc.
Concernant la plume, elle est toujours fraîche et
entraînante, même si on y retrouve un peu moins de sarcasme et de légèreté. L’intrigue
implique un ton plus grave, et si ce n’est pas pesant, Alexiane de Lys a quand
même sur en imprégner son récit pour coller avec l’histoire. De plus, les
sentiments décrits sont toujours justes, et suivre la narration avec Gabriel a
aussi été intéressant, je l’admets !
Au niveau des valeurs, l’amour prime encore et toujours,
avec l’amitié. Cassiopée n’est jamais vraiment seule, et on voit quelle
importance ça a. Que nous risquions nos vies comme elle ou non, tisser des
liens forts est essentiel pour avancer ! Il en va de même pour la
confiance que nous accordons aux autres, notamment en actes. Les gestes que
nous posons expriment ce que nous ressentons vis-à-vis des autres, et parfois,
ce que nous faisons pour le bien de tous à leur insu peut provoquer de grosses
blessures. Bref, on peut tirer de jolies leçons à travers ce tome 3, d’autres
encore que celles que je viens de citer !
Enfin, laissez-mois vous dire que la toute fin me laisse
perplexe. Ce tome 3 est-il une conclusion, oui ou non ? S’agit-il d’une
fin ouverte pour une fin de trilogie, ou quelque chose pour relancer une suite ?
Je suis assez frustrée des deux, en tout cas ! J’aime bien quand c’est
fini-fini. Mais je l’avais quand même senti venir, ce retournement… et ça m’intrigue !
Du coup, il reste à voir si nous devrons imaginer, ou attendre un tome 4… allez
savoir !
En fin de compte, ce troisième (et dernier ?) opus a
été une chouette lecture pour moi. S’il m’a manqué un petit quelque chose que
je ne parviens pas à définir, j’ai lu le tout avec plaisir, et j’ai apprécié de
retrouver notre fine équipe, qui évolue pas mal. L’intrigue est prenante, avec
des rebondissements parfois prévisibles (ou non !), et une Cassiopée qui n’a
pas fini d’en baver, mais qui saura rester elle-même, ce qu’on ne peut qu’aimer.
Vive les héroïnes têtues ! L’amour et l’amitié sont au centre, et ça fait
aussi vraiment du bien. Ce sera un 16/20
pour moi et vivement un prochain roman d’Alexiane de Lys !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire